VOIS-TU CE QUE JE VOIS ? – plâtre peint, 1978
Sous le moulage des feuilles de potiron se cachent de sublimes fessiers. Une qualité sculpturale mêlée d'érotisme. « Vous dites que lorsqu’on découvre sous mes potirons de magnifiques paires de fesses, comment pourrait-on me prendre au sérieux ? Mais il faut prendre ceci avec beaucoup de fantaisie et la fantaisie, c’est très sérieux !»
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